Dès sa jeunesse, Domenico Antonio Di Guglielmo est attiré par les chefs-d'œuvre classiques, la sculpture abstraite du 20e siècle, l’art aborigène de l’Amérique du Nord et les masques rituels africains. Il réalise ses abstractions à l’aide de formes naturelles, organiques, et géométriques. Pendant plus de trois décennies, il enseigne les arts plastiques au sein d’établissements scolaires montréalais. Il est titulaire d'une licence en physique, d'une licence en beaux-arts, d'un certificat en éducation et d'une maîtrise en éducation des arts plastiques. Il participe à de nombreuses expositions et à plusieurs symposiums de sculpture nationaux et internationaux dans de nombreux pays en Europe, en Amérique du sud, au Canada etc. Il est lauréat de nombreux prix: premier prix du 5e Symposium international sur le granit en Lituanie pour son monumental « Sky Gazing »; premier prix à Julienne, en France en 2006 pour « La Vague » ; deux premiers prix et un deuxième prix à différentes éditions de « Kingsbrae Garden National Compétition » au Nouveau Brunswick. De plus, le centre KIRA (Kingsbrae International Residence for the Arts) de St Andrews, Nouveau Brunswick l’a chargé de créer une sculpture monumentale pour le 150eme anniversaire du Canada. À Montréal, il gagne le concours « Terre de culture et d’ouverture » en 2014. Au Québec, il a des sculptures publiques à Montréal (Parc André-Corbeil), à Laval (Maison des Arts), à Lac-Mégantic (Le parcours du Marcheur d’étoiles) et à St-Jacques de Montcalm (Le parc des Cultures).

DADG crée pour partager ses idées, ses sentiments et ses perceptions du monde, qu'il soit réel, virtuel ou imaginaire. L’être humain et la vie de tous les jours sont ses principales sources d’inspiration. DADG est passionné par la création, à partir de matériaux nobles, d’oeuvres qui se veulent une intégration, littéraire et figurative, de l’humain et de la nature. De par ses créations, DADG tente de libérer l’homme des barrières de sa vie mortelle. Les œuvres sont réalisées à travers la conceptualisation de formes de la nature combinée à des figures géométriques urbaines. L’utilisation d’espaces positifs et négatifs permet de créer du mouvement par lequel DADG exprime ses émotions et propose une image. DADG privilégie la pierre. Sculpter la pierre, c’est faire apparaître une forme par un procédé de soustraction. D’abord, il choisit une pierre, généralement sciée, dont la composition et la grandeur varient selon le projet envisagé. Il exécute auparavant plusieurs croquis puis une maquette. Ensuite, il fait des dessins sur les surfaces du bloc à sculpter. À l’aide de scies, de ciseaux et d’outils à ponçage il coupe la pierre et nettoie les surfaces jusqu’à ce qu’elles soient lisses, texturées ou polies. DADG réalise ses œuvres dans différentes grandeurs, du petit format jusqu’au monumental. Ses créations mettent en évidence des formes épurées avec des mouvements en continuité. Les détails qu’il perçoit comme non essentiels sont éliminés.